mardi 3 août 2010


Johannes se veut dictateur de la gente féminine : emprisonner en feignant de donner la liberté.

(un des premiers degrés de lecture du Journal du séducteur)

3 commentaires:

  1. Johannes est esclave de son besoin de séduction.
    (autre premier degré)

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  2. je me risquerais à dire que c'est presque un second degré...

    troisième degré peut-être, ou presque : liberté et son inverse (ses inverses) se rejoignent dans le désir de Johannes, dans ses fantasmes...
    Et c'est cela qui le fait (le ferait) écrire.

    A enlever une à une les pelures de l'oignon kierkaardien, on en viendra peut-être à s'interroger sur le regard du jeune Kierkegaard à l'égard de ce Journal du Séducteur, et du recul qu'il n'avait ou n'avait pas vis à vis de cette oeuvre esthétique...

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  3. (et c'est peut-être toujours cela qui fait écrire
    - ou du moins, la tension est peut-être autre, mais c'est probablement toujours une tension, et donc une tension entre deux pôles opposés, qui, me semble-t-il, fait écrire)

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