je me risquerais à dire que c'est presque un second degré...
troisième degré peut-être, ou presque : liberté et son inverse (ses inverses) se rejoignent dans le désir de Johannes, dans ses fantasmes... Et c'est cela qui le fait (le ferait) écrire.
A enlever une à une les pelures de l'oignon kierkaardien, on en viendra peut-être à s'interroger sur le regard du jeune Kierkegaard à l'égard de ce Journal du Séducteur, et du recul qu'il n'avait ou n'avait pas vis à vis de cette oeuvre esthétique...
(et c'est peut-être toujours cela qui fait écrire - ou du moins, la tension est peut-être autre, mais c'est probablement toujours une tension, et donc une tension entre deux pôles opposés, qui, me semble-t-il, fait écrire)
Johannes est esclave de son besoin de séduction.
RépondreSupprimer(autre premier degré)
je me risquerais à dire que c'est presque un second degré...
RépondreSupprimertroisième degré peut-être, ou presque : liberté et son inverse (ses inverses) se rejoignent dans le désir de Johannes, dans ses fantasmes...
Et c'est cela qui le fait (le ferait) écrire.
A enlever une à une les pelures de l'oignon kierkaardien, on en viendra peut-être à s'interroger sur le regard du jeune Kierkegaard à l'égard de ce Journal du Séducteur, et du recul qu'il n'avait ou n'avait pas vis à vis de cette oeuvre esthétique...
(et c'est peut-être toujours cela qui fait écrire
RépondreSupprimer- ou du moins, la tension est peut-être autre, mais c'est probablement toujours une tension, et donc une tension entre deux pôles opposés, qui, me semble-t-il, fait écrire)