journal : à la porte duquel on est toujours après même être entré
ce qui me fascine aussi bien : l'opacité du journal
et à tenir soi aussi un journal on sait que journal est palais des glaces pas seulement miroirs moins miroirs que plusieurs portes et toujours certaines fermées qu'on ne voit pas même après même avoir ouvert d'autres portes
et qu'on voit tout - et rien - et - perdu dans les reflets
perdus dans le labyrinthe même qu'on s'est construit
quand on se perd dans son propre labyrinthe avancée avec plus de peine encore dans le labyrinthe des autres
- mais comme on aime se perdre . . .
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