L'écran blanc s'ouvre en fenêtre sur la nuit, écho silencieux à la lune dévorée,
les arbres ne se distinguent plus en dentelles noires sur le ciel et je ne distingue plus même mes doigts sur la marelle du clavier.
J'ai été tout à l'heure poser ma tête sous l'énorme ciel , offrande au dieu d'étoile , mais elle n'a fait que bouler au bas du champ.
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