lundi 26 avril 2010


Pleurer en lisant un essai littéraire : c'est L'Ere du Soupçon (passage à propos de Kafka) auquel je me livre sans doute aucun, pleinement . et sous lequel je disparais.  n'étant pas même le support que sont les personnages. ou me glissant dans chacune de leurs ombres. transparente leur opacité devient ma seule épaisseur.

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