Pleurer en lisant un essai littéraire : c'est L'Ere du Soupçon (passage à propos de Kafka) auquel je me livre sans doute aucun, pleinement . et sous lequel je disparais. n'étant pas même le support que sont les personnages. ou me glissant dans chacune de leurs ombres. transparente leur opacité devient ma seule épaisseur.
lundi 26 avril 2010
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